Et je t’aime…
Une pensée-douceur a réveillé mes sens,
Une odeur, une essence a réveillé mon cœur.
J’imagine tes bras dans mon évanescence,
J’imagine ton souffle qui me touche et m’effleure
Et je t’aime, malgré ton absence infernale,
Mon ange, mon démon, mon abime fatale.
Comme dans un souvenir, le timbre de ta voix
Emplit si fort ma tête, je sais que tu es là
Dans un autre univers, une autre dimension,
Tu tiens mon cœur en laisse, j’y laisse ma raison
Et je t’aime, malgré ton absence infernale
Mon ange, mon démon, mon abime fatale.
Je te reconnaitrais entre mille et pourtant
Je ne sais rien de toi, juste ces impressions,
Je sais tes bras, ta voix, ton odeur, ton allant,
Mais je ne connais que, toutes ces illusions…
Et je t’aime, malgré ton absence infernale,
Mon ange, mon démon, mon abime fatale.
Marie David 2 avril 2013