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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 19:52

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Hommage à Neil Amstrong

 

 Amstrong le premier homme qui marcha sur la lune,

Cet  homme simple ne profita pas de son succès,

En évitant la foule, tranquillement il vécut,

Distribuant son savoir et vivant sans excès.

 

La recherche spatiale nous a fait avancer,

Plus de mille six cent choses furent inventées,

Pour notre confort, celui de tous les jours, et

Pour les hôpitaux, informatique, matériel.

 

Les hommes sont capables de grandes et belles choses,

Neil Amstrong est un exemple à suivre, lui et d’autres.

Il fut le premier homme en toute simplicité,

Sur une autre planète,  à tous nous  faire rêver.

 

Marie David 26 Août 2012

 

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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 13:19

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Tunisie, fille de la mer et du soleil,

 

Tunisie, fille de la mer et du soleil,

Ne permet pas à tes enfants d’être cruels,

Ne les laisse pas battre et insulter leurs pairs,

Sous des prétextes ridicules vestimentaires.

 

La religion embrume les cerveaux, salit

Les femmes qui ne veulent pas vivre voilées, cachées,

Les hommes qui respectent les femmes, leur liberté,

La religion intégriste tue les hommes libres.

 

Amis musulmans, ne permettez pas l’intégrisme,

Ne permettez pas de salir votre religion,

Ne laissez pas des fauteurs de troubles sévir,

Faire de votre vie, votre foi, une prison.

 

Tunisie, fille de la mer et du soleil,

Ta beauté n’a d’égal que la douceur du peuple,

Que tu as enfanté, il faut le protéger,

Le faire grandir,  permettre aux hommes de rester  nobles.

 

Pour une poignée de religieux sectaires, tu passes

Aux yeux du monde pour un pays moyenâgeux,

Redresse ta tête, libère ton peuple de l’impasse

De l’intégrisme, ferme la bouche aux fous de Dieu.

Marie David 26 août 2012

 

 

 

 

 

 

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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 13:09

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Le paradoxe américain

 

Ils posent le premier pied sur la lune, observent mars,

Et  un des candidats dit des énormités.

Les femmes qui seraient vraiment violées, quelle classe 

De prétendre une différence  entre les fausses et les vraies !

Ne tomberaient  pas enceintes par un fin  stratagème

Du corps ! Quel demeuré peut dire des choses pareilles ?

Et quels gens assez fous peuvent voter pour cet homme ?

Quelles femmes sensées peuvent écouter ces sommes

De stupidités ?  Cela pour ne pas permettre,

L’avortement aux femmes violées, de quel droit

Un homme se permettrait de décider pour elles ?

Seules les femmes sont concernées, et c’est leur droit

Seulement le leur, de ne pas garder le bébé.

Ce sont les hommes qui violent,  les femmes subissent,

Ce sont les femmes qui décident et seulement elles,

Ne vous laissez pas faire par les hommes politiques.

D’où que vous soyez, où que vous viviez, les femmes

Doivent décider seules de leur grossesse, c’est à elles,

De prendre les décisions pour leur corps, leur âme

Le viol doit être puni, de manière plus sévère.

Au lieu de discuter  sur l’avortement,

Il faut punir plus fort tous ces hommes violents .

 

Marie David 21 août 2012

 

 

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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 21:36

dieu

 

Libre

Je me sens totalement libre, l’esprit ouvert,

Sans attache, mon cœur est rempli d’amour.

Je crois dans tous les prophètes, d’où qu’ils viennent,

Ils ont tous apportés les mêmes paroles, toujours.

 

Aucun d’eux ne voulait créer une religion,

Aucun d’eux ne souhaitait combat ou agression.

Les religions sont les affaires des hommes,

La foi, l’affaire de Dieu, c’est très simple en somme.

 

L’être humain a tellement besoin de s’identifier,

Besoin de faire partie d’un clan,  suivre un troupeau.

Si nous sommes uniques, c’est pour réfléchir nous-mêmes,

Sans nous laisser mener, tiré par un lasso.

 

Laissez aux enfants la liberté de leurs choix,

Laissez-les ressentir leurs besoins spirituels.

Je remercie mon papa, pour la liberté

Qu’il m’a si bien offert en ne m’imposant pas,

Ses idées ou celles de ma maman, différentes

Des siennes, mais que nous respections par amour

Mes chers parents, merci, merci beaucoup à vous,

Pour cette liberté et pour mes différences.

 

Marie David 18 août 2012

 

 

 

 

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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 20:42

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Le grand show des politiciens

 

Les êtres humains ne font plus la différence

Entre la  vie et  la fiction, le cinéma,

Dans les films d’action, une grande violence

Chez les jeunes, à l’école, dans la rue, des combats.

La politique aussi n’est plus que comédie,

Insultes, quolibets, outrages verbaux cyniques,

Bel exemple pour les jeunes, candidats ridicules,

Serrés dans leurs préjugés  étriqués, leur bulle.

Leur campagne est une farce qui coûte une fortune,

Le public applaudit, il paiera la facture…

Réagissons, cessons d’être manipulé,

Ce soir c’est l’Amérique, chez nous c’est terminé…

Mais dans quelques années, tout va recommencer,

Ils vendront nos impôts dans des sketches endiablés.

 

Marie David 19 Août 2012

 

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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 19:58

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La grand mère

 

La grand-mère est restée à l’intérieur, sereine,

Dans son logis fermé aux rayons du soleil.

La chaleur d’aujourd’hui rend l’ainée plus fragile,

Ses gestes sont plus gourds, son souffle moins tranquille.

 

Elle doit boire et pourtant ne ressent pas la soif,

Mais elle est attentive, elle écoute et s’hydrate.

Depuis bien des années, sa vie est ralentie,

Au rythme des saisons, son corps a bien vieilli.

 

Elle repense à sa  vie trépidante et changeante,

Elle en revoit le film, les souvenirs la hantent.

 Mais au fond, elle se sent satisfaite de cette vie

Elle vieillit tranquillement, et elle en sourit …

 

Marie David  18 août 2012

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7 août 2012 2 07 /08 /août /2012 19:27

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Je voyage…

 

En écrivant mon roman, je voyage…  Congo,

A Brazzaville, dans sa cité, dans son ghetto.

Je me promène dans le désert du Sahara,

Au milieu des Touaregs, les beaux hommes bleus

 Dont le regard immense, ferait baisser mes yeux,

Tant ils sont pénétrants, envoûtants, plein d’éclat

Je voyage dans le temps, dans des contrées sauvages

Eblouie de soleil, merveilleux paysages.

Congolaises en boubous aux couleurs du soleil,

Chèche bleue de l’homme du sable, nomade éternel,

Feulements des fauves dans l’Afrique équatoriale,

Souffle du chameau lorsqu’il court dans le sable.

Et ma plume noircit la blancheur du papier,

Pour décrire ces merveilles et pour vous les livrer.

 

Marie David 7 juillet 2012

 

 

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4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 22:36

tristesse

 Spectatrice de souvenirs d’antan sans nostalgie

 

Je me souviens de t’avoir aimé tellement fort,

Je me souviens de t’avoir tout donné, toujours,

D’avoir calmé tes craintes, donné du réconfort,

Je t’ai valorisé et donné plein d’amour…

 

Malgré ton caractère et tes verbes violents,

Malgré tes crises de nerfs, et tes mauvais penchants,

Je t’ai tout pardonné, et me suis humiliée,

Je me suis oubliée, me suis pas  respectée.

 

J’aimerais que mes filles n’aiment pas autant que moi,

Ou bien qu’elles aiment mieux, en ne s’oubliant pas,

Quand enfin, je suis parvenue à te quitter,

Dans les bras du premier venu je suis tombée…

 

Je voudrais que mes filles tirent de mon expérience,

Une leçon de tout ce qu’il ne faut pas faire…

Qu’elles n’aient pas besoin de souffrir  en silence

Et qu’elles partent plutôt que survivre en enfer.

 

Marie David 4 août 2012

 

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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 09:41

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J’ai rêvé éveillée d’un roman que j’écris…

 

J’ai rêvé éveillée d’un roman que j’écris,

C’est une histoire d’amour, de voyages et de vie.

La route douloureuse, difficile, mais joyeuse,

D’une femme, d’une mère, et d’une envie furieuse

D’accomplir un chemin dicté par l’amoureux,

Celui qui est parti laissant son cœur hideux

Rempli de nostalgie, de manque, de naufrage,

Rempli de l’eau salée des mers de son visage.

Elle suivra cette route qu’ils écrivaient ensemble,

Franchira les pavés malgré ses pieds qui tremblent.

Elle ira jusqu’au bout de leurs projets de vie,

Pour pouvoir supporter la perte de l’ami,

Du mari, de l’amant et du père de l’enfant,

Elle ira jusqu’au bout en suivant les oiseaux,

Traces noires dans le ciel rempli de piaillements,

Et dans les oasis chantant dans les roseaux

Trouvera le courage de vivre intensément,

En regardant ses yeux dans les yeux de l’enfant.

 

Marie David 26 juillet 2012

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26 juillet 2012 4 26 /07 /juillet /2012 23:02

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La force de l’amour

 

Toute  notre vie nous faisons des bouts de chemin

Vers l’autre. Vers un mari, une sœur, une mère,

Vers  un enfant, un ami, ou bien vers un père.

On se rapproche, on espère, et on se retient…

 

La vie chaque fois, telle une vague, nous ramène,

A nos besoins d’enfant, qui nous rassurent souvent…

Et  une odeur dans l’armoire des êtres aimés,

Réconforte ce cœur, que l’on croyait perdant.

 

Cette main qui se tend, et ce corps qui se serre

Enveloppent  nos vies,  de nos amours sincères.

Et l’espoir qui s’installe dans notre cœur branlant

Ouvre enfin le chemin pour nous rendre puissant.

 

Marie David 25 juillet 2012

 

 

 

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