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17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 20:19

 

 

447419 CT C14 2 (1)

 

Le maître expliquait encore à Amibha.

« Quand certaines âmes avaient terminé le cycle des cent vies dans le chiffre dix, elles renonçaient à s’unir au grand tout, elles décidaient de s’allier aux grands maîtres pour les aider à permettre aux âmes perturbées de retrouver leur chemin.

Pour ce faire, l’âme en retour, acceptait par exemple, d’être le ventre qui porterait une âme en perdition, acceptait d’être l’épouse ou le mari d’une âme habitée par le mal. Et l’âme en retour, sa vie durant, tentait de faire passer des messages de paix, d’amour, de tolérance, dans les cœurs les plus négatifs, dans les esprits les plus tortueux. Elle était aidée dans sa lourde tâche par des âmes ayant choisi les mêmes desseins. Les âmes qui l’entouraient étaient des filles, des fils, des épouses ou des maris, souvent des amis, qui lui permettaient de supporter une vie difficile abîmée la plupart du temps par la maladie, car, si l’esprit est fort, c’est l’enveloppe qui se détruit quand la peine est trop grande. Ces âmes en retour, pouvaient revenir dans n’importe quel chiffre mais elles devaient, après cent vies auprès des âmes à soigner, recommencer les cent vies du chiffre dix, afin de retrouver en entier, la mémoire de toutes leurs vies antérieures, et la raison de ces réincarnations incessantes. »

 

Le maître disait encore.

« Le mal existe, il est né quand les âmes étaient vulnérables, mais il n’a aucun pouvoir sur les naissances des univers, ceux là naissent totalement vierges de toute négativité, et les êtres qui y naissent sont aussi vierges que l’univers qui les a accueillis dans son sein, mais ils sont très vulnérables, car c’est la prise de conscience quand ces êtres deviennent des hommes qui sera utilisée par des esprits tortueux qui les entraineront sur des chemins retors.

Mais comme toutes les  âmes jeunes sont prises en charge par des vieilles âmes, en principe, elles parviennent à leur montrer le chemin du bien. »

 

 

Le maître rendait attentive Amibha :

« Quand les âmes sont trop atteintes par le mal, ce sont les vieilles âmes qui ont fini leur parcours mais qui souhaitent continuer d’aider le bien à progresser, qui reviennent pour s’occuper des plus atteintes : criminels, psychopathes, et dans les cas plus faciles, voleurs, dénonciateurs, menteurs, manipulateurs. Ces âmes handicapées, feront cent vies en compagnie d’une vieille âme en retour. L’âme en retour, par amour pour eux, s’engage dans cent vies difficiles pour les accompagner, et elle sait qu’elle devra recommencer cent vies dans le chiffre dix.

Pour la victoire du bien elle sacrifie deux cent vies de labeur. Si elle a la chance de retrouver vite la mémoire de toutes ses vies antérieures quand elle se retrouve dans le chiffre dix, elle pourra rejoindre l’amour inconditionnel plus rapidement. »

Le maître parlait de société et de comportements inconnus d’Amibha, mais elle sentait un message au travers des paroles du maître… Il continuait son monologue…

« Ceci pour expliquer que la culpabilité d’avoir un enfant malhonnête alors qu’on lui a donné de l’amour et de la droiture, doit cesser d’empoisonner l’esprit des parents venus pour le sauver. La plupart des parents de ces enfants difficiles sont de vieilles âmes, revenues juste pour aider un esprit en perdition.

Les gènes sont responsables de certaines choses, les schémas de vie également, mais la conscience devrait permettre à tout individu cohérent de trouver le chemin de la vérité et de l’honnêteté.

Les parents ne sont pas responsables à cent pour cent de l’attitude de leurs enfants, tout n’est pas noir ou blanc, tout se situe dans la nuance, et chaque être possède son libre arbitre. »

 

Amibha ne comprenait pas tout ce que disait le maître car il parlait d’une société qu’elle ne connaissait pas, mais elle aurait voulu aider ces gens à trouver leur chemin… il lui disait :

« Le mal progresse car il a réussi à s’immiscer au cœur même de la société, dans la direction des entreprises, au sein des gouvernements, la planète souffre, et les âmes ne parviennent plus à faire la différence entre le bien et le mal, ce qui leur parait bien détruit la planète donc les détruit eux-mêmes, la course effrénée à l’argent est la réussite du mal…

Et les vieilles âmes en retour ont de plus en plus de peine à faire ouvrir les yeux aux âmes arrivistes prêtes à tout pour réussir socialement, ce qui représente un échec total sur le cheminement de l’âme. »

 

 Amibha supposait que tout ce discours prendrait tout son sens quand elle découvrirait ses vies antérieures, le maître continuait.

« Les maux primaires que le mal utilise pour pourrir une âme sont : la jalousie, l’envie, l’exclusion, la dévalorisation, le harcèlement, la manipulation.

Ces sentiments, nous les avons tous connus à un moment ou à un autre, certains, comme la jalousie et l’envie viennent du plus profond de nous même si parfois ils ne sont pas provoqués réellement méchamment, par quelqu’un d’autre, et nous devons lutter contre notre propre négativité.

Les autres, l’exclusion, la dévalorisation, le harcèlement, la manipulation, sont des maux provoqués par l’entourage qui abîment l’esprit de celui qui les subit, donc ils sont provoqués par le mal. Il faut savoir que la lutte est inégale et continuelle, que la souffrance que provoquent ces maux est terrible et qu’elle valorise ceux qui les déclenchent. Il est nécessaire de travailler beaucoup sur soi même et d’admettre les travers de sa personnalité pour parvenir à se guérir de l’intrusion du mal dans notre esprit. »

Puis le maître parla de gens dont Amibha n’avait jamais entendu parler… il disait :

« Des personnages hauts en couleur comme l’abbé Pierre et mère Térésa sur la planète Gaïa sont à l’image de ce que le bien peut faire pour forcer le mal à se replier dans l’antre même de la négativité.

Les religions, créées pour aveugler les hommes font naitre à leurs dépends, des êtres angéliques, capables de donner du bien tout au long de leurs vies, sur les traces  de leur grand maître, celui qui mourut cloué sur une croix après avoir subit la trahison des siens.»

 

livres mimi 003 

 

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17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 09:59

DSCN5667 

 

 Un moment de félicité

 

 

Comm’ un’ nuée de papillons de tout’ couleurs,

Les minutes magiques d’une infinie douceur.

Comm’ les flamands roses qui se posent sur la mer,

Les moments merveilleux de la planète terre.

 

Un matin neuf vient de se lever plein d’amour,

Comm’ un doux baiser que je pos’rai sur tes lèvres.

Comm’ un voile léger au milieu d’un doux rêve,

Apprendre à conjuguer le verbe aimer, toujours…

 

 

Marie David   15 Août 2010

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3 août 2010 2 03 /08 /août /2010 14:54

DSCN5384

 

 

Mon lac

Comme il est beau ce lac Léman,
Bordé de plages, prés verdoyants.
Plein de grands arbres nous saluent,
Témoins de moments bienvenus.
Pique nique en famille: candeur
Amoureux, s’émoustillent : bonheur
Enfants qui chantent, et puis qui crient
Qui vont dans l'eau, qui se poursuivent.
Chiens qui aboient, qui courent par là,
Se baignent aussi, dans cette eau là.
Et puis les Alpes orgueilleuses,
Se dressent autour pour se montrer.
Le Jura moins majestueux,
Derrière la Suisse, de l'autre côté,
Etale ses monts harmonieux
Les vallées coulent en leurs milieux.
Vision sublime, enchanteresse,
Qui rend mon âme poétesse.

Marie David 3 août 2010

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 10:13

chouette comme la mienne

 

 La chouette.

 

Tombée du nid par accident, ou bien poussée…

Par ses parents… papa la ramassa pour moi.

Tremblante et agressive, les yeux exorbités,

Quand il la mit dans mes mains, elle  pinça.

A force de douceur, de steaks et de patience,

La chouette m’accepta, me donna sa confiance.

Bientôt, je fus la seule à pouvoir l’approcher,

Elle hululait le jour pour avoir à manger.

Papa me dit : «  Bientôt, faudra la relâcher,

Qu’elle fasse sa vie, qu’elle apprenne à chasser. »

Quand elle s’envola, je fus triste à pleurer,

Mais pendant quelques temps, le jour elle hululait.

Pour les superstitieux, elle annonçait la mort,

Moi j’ai su qu’elle vivait, et j’en souris encore.

 

Marie David  1 août 2010  (Un souvenir de 1965)

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 10:10

 

kevin carter pulitzer-300x197

 Photo de Kevin Carter Pulitzer

 

 

La journaliste prend sa retraite

 

L’air avait l’odeur de la terre mouillée,

Comme après la pluie d’orage, en été.

Depuis si longtemps, elle était partie,

Son pays, d’un coup, l’avait attendrie.

Tant d’années passées à courir le monde,

Traverser tant de frontières sous les bombes.

Elle avait filmé et photographié,

Les horreurs, la guerre, la faim, les blessés,

Ses yeux ne peuvent plus regarder la mort,

Son cœur a cessé de faire des efforts,

Pour pouvoir supporter tout’ ces douleurs,

Tous ces gens qui souffrent, ces enfants qui pleurent.

Elle est revenue au pays d’antan,

Retrouver les siens et son cœur d’enfant.

Pour se réchauffer, son cœur a si froid,

Elle a tant besoin de poser sa croix.

 

Marie David 1 août 2010

 

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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 11:19

 

DSCN5352

 

 

Le psychologue.

 

Il a dessiné un grand monsieur, c’est papa,

Il a dessiné une petite dame, c’est maman.

Et il s’est dessiné, lui, plus grand que maman,

Pas encore assez grand, pour dépasser papa.

Le psychologue a demandé : « Pourquoi plus grand,

Que maman ? » Il a répondu : «  Pour protéger

Maman de papa, quand aussi je serais grand. »

Et puis, il a pleuré, sangloté et crié,

Quand sa mère est venue, contre elle, il s’est jeté.

Le psy a expliqué, elle aussi a pleuré.

Quand ils sont revenus au sein de leur foyer,

Elle a fait leurs valises, un mot, elle a laissé.

Elle a téléphoné à papy et mamie.

Quand ils sont arrivés, dans leurs bras, ils l’ont pris.

Ils les ont câlinés longtemps, lui et maman ,

Ne se sont  plus quittés depuis ce dur moment .

 

Marie David 24 juillet 2010

 

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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 11:15

 

Grand p-re MEUNIER grand p-re de Simone DAVIOT et une tante

 

 

La petite mamie

 

La démarche mal assurée, le dos voûté,

Cramponnée à sa canne, elle va dans le jardin.

Elle s’assoit toujours au même endroit… Rêver,

Rêver de cet homme qu’elle avait aimé. Sa main,

Sa main dans la sienne, tout au long du chemin.

Jusqu’à ce jour maudit où la vie lui a pris,

Le compagnon, l’amour, le père, l’amant, l’ami.

Bien sûr, elle a ses enfants, mais c’est différent…

Ils disent qu’elle est bien, dans cett’ maison, ce jardin.

Mais qu’en savent-ils ? Et que pense-t-elle vraiment ?

Ell’ dit qu’ell’ est bien dans cett’ maison, ce jardin…

De tout’ façon, à son âge, on est bien partout…

Où qu’elle soit, il manque, elle le sent, l’entend, partout…

Et pour ne pas inquiéter ses enfants, elle dit…

Dans cett’ maison, ce jardin, elle est bien ici…

 

 

Marie David 24 juillet 2010

 

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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 11:13

 

Tahiti-gros-plan-dauphins

 

 

 

Le cauchemar.

 

Un quatre pattes en éponge, un nounours à la main,

Un pouce dans la bouche, il arrive le matin.

Pouss’ la port’ de la chambre, se glisse dans le lit,

Maman lui dit : « Ce n’est pas dimanche aujourd’hui,

Et puis, il est trop tôt, il fait encore nuit. »

Mais le bambin la pousse, se serre contre sa mère.

Attendrie, elle enroule ses bras autour de lui.

Rassuré par la chaleur du corps de sa mère

Oublia son cauchemar, et de suite s’endormit.

 

Les bras d’une maman, c’est mieux que tous les lits.

 

 

 

Marie David 24 juillet 2010

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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 11:11

 

 

orage

 

Elle avait 15 ans…

 

Elle a fermé la porte aux remarques de sa mère,

Elle na pas entendu les âneries du père.

Elle les déteste, eux, l’école, la société,

Elle est moche, elle est conne, elle voudrait s’en aller,

Dans une autre famille, avec des autres gens,

Des qui la comprendraient et l’aim’raient vraiment…

Elle pleure, elle est mal, et pour bien leur montrer,

Elle va faire ses bagages. Ho oui ! Ella va fuguer !

Pour qu’ils s’inquiètent un peu, qu’ils se fassent du souci,

Pour qu’ils regardent un peu au-delà de leur vie.

Mais ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’elle reviendra pas…

La vie va la manger, le trottoir, dans la rue,

Va lui faire regretter, sa maman, son papa,

Quand, dans les bras des hommes, elle se trouvera nue.

 

 

Marie David 24 juillet 2010

 

 

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22 juillet 2010 4 22 /07 /juillet /2010 11:08

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A tous ceux qui ont perdu la bataille contre ce maudit cancer et à ceux qui continuent à le combattre.... Je prie pour qu'un remède mette fin à ce fléau !!! 92 % d'entre vous ne feront pas copier-coller de ce texte à leur statut de profil Facebook alors que nous sommes hélas tous ...concernés !! Faites-vous partie des ...8 % qui le feront, moi oui...R.I.P. Bernard Giraudeau.

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  • : Je souhaite faire connaître ma méthode de relaxation afin d'aider un maximum de gens. Et également de présenter mes ouvrages.
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